Les Mystères d'Akenos
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Les Mystères d'Akenos

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 Le Prélude

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Nalacka
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Nalacka


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Date d'inscription : 28/11/2019

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MessageSujet: Le Prélude   Le Prélude EmptyDim 1 Déc - 1:09

Le Prélude Wi6p

Le monde connu

1500 après l'ère I. Journal d'Alberick le sage.

Le calendrier marque en l'an I au crépuscule de la première Larme (Chute des Anciens).

1500 après l'ère I : les Cieux Brûlants nous ont frappés. Désormais, il ne reste plus que la ceinture d'Elion pour nous protéger.

Début de l'ère II.

Qui sommes nous?


Nous sommes les survivants d'Akenos, le monde aux trois soleils. Ici, nous apprécions plusieurs aurores et plusieurs crépuscules dans une même journée. Le temps est une notion malléable, que les étoiles influencent comme le vent souffle sur l'onde pour en moduler la surface.

Nous étions il y a encore quelques courtes années répartis sur plusieurs continents, entre plusieurs cultures. Naïfs que nous étions en pensant que nos querelles comptaient pour le centre de l'univers.
Devenus sourds, nous avions ignoré la prophétie des anciens annonçant les Cieux Brûlants au jour où les trois astres s'aligneraient. Nul prêtre, nul érudit, ne fut alors capable d'anticiper la colère des cieux lorsqu'elle irradia tout ce que nous connaissions.

Qui sommes nous aujourd'hui? Des hommes, des femmes, surpris d'être encore vivants.


Où sommes nous ?

Nous sommes dans la ceinture d'Elion, le dieu soleil, celui qui donne et la vie et la mort.

Alors que les cieux brûlants frappaient notre monde, un homme réussi l'impossible : il éveilla les artefacts de l'ancien monde, et leva la barrière pour former la ceinture d'Elion et protéger du cataclysme ce qui deviendra "Les terres de l'espoir".

Cet homme est un Roi, le roi Balthazar du royaume de Mystal. Un fou, un idéaliste, un de ces philosophes inspiré par des questionnements et des mystères qui indiffèrent la majorité des Hommes de ce monde.

Personne ne sait comment il réussi à maitriser l'énergie des pylônes. Certains disent même qu'il n'en est rien et qu'il ne fait que s'arroger le fruit d'un hasard. D'autres que ce sont les dieux qui nous ont offert ce refuge.

Quoi qu'il en soit, nous sommes dans la ceinture d'Elion, ou les terres de l'espoir comme les ont renommées les survivants. Ici, la citée de Mystal s'élève fièrement au cœur du désert d'Eatch, l'un des seuls endroits connus civilisé au milieu des territoires sauvages et des vestiges troublants des temps anciens.

Quelques groupes autonomes, dissidents, ou même hostiles, semblent néanmoins décidés depuis quelques temps à instaurer ça et là de nouvelles règles et de nouveaux territoires.

=>"Ô grand sage, je veux en savoir plus sur le Royaume de Mystal !"

La magie? Quelle est-elle?

Depuis l'ère I - et nul ne sait ce qui a existé avant - nous sommes pour la majorité d'entre nous touchés par le Don. Le don, c'est quelque chose qui à chacun est particulier. Un lien intrinsèque entre nous, et Akenos.
La majorité du temps, ces dons sont très mineurs. Faire pousser les cheveux plus vite, rougir les tomates, chauffer un peu d'eau entre ses mains. Mais parfois, ils sont plus puissants : Alors, la contrepartie est toujours très chère payée.

Il existe aussi une magie propre aux prêtres : Les manifestations divines. On dit que ces pouvoirs sont propres à chaque clergé, et qu'ils seraient un cadeau des dieux en réponse à la ferveur de leur dévot. Pour une raison inexplicable, les prêtres perdent alors leur don d'Akenos : excepté ceux de Kanderal, qui ont une forme de magie un peu particulière.

Et pour finir, la magie créatrice. Il s'agit de pouvoirs tirés de l'étude du monde, des sciences, des éléments incarnés dans chaque être et chaque entité existante. Au travers du façonnage de ces éléments, de l'alchimie, les enchanteurs parviennent à sceller des sortilèges et leurs effets dans des objets.
On dit que les enchanteurs perdent eux aussi le Don d'Akenos, et que les études qu'ils mènent sont particulièrement difficiles et dangereuses. Ce sont pour autant des érudits particulièrement respectés.


=>"Ô grand sage, je veux en savoir plus sur la magie!"

Les dieux, qui sont ils ?

Depuis l'ère I, les dieux règnent sur les hommes et les hommes servent les dieux.

Si chaque culture a pu avoir son approche, ces êtres omniscients ont tous une représentation propre partagée par chacun. Les prêtres évidemment assurent entendre leurs voix, mais nul ne peut ni le confirmer ni l'infirmer.
Il n'est pas réfutable néanmoins que les dévots finissent toujours par révéler une caractéristique physique propre à celui qu'ils servent, ainsi que des dons particuliers.

- Istia, Dame d'Argent : Istia est la Dame Lunaire, elle présente autant de visages que le cycle de la lune. Parfois lumineuse, et bienveillante, d'autres fois obscure et taciturne. Parfois capricieuse, mais jamais cruelle.
Istia est l'incarnation de la grâce, de la féminité, de la sexualité et de la sensualité dans sa phase lumineuse. Mais aussi la lassitude, la mort, et la fin de toute chose dans sa phase obscure. Quelque soit la facette priée, ses prêtres sont principalement des femmes.
Je veux en savoir plus sur le culte d'Istia

- Elion, Seigneur de l'Astre :
Elion est le dieu de la lumière. Il incarne la vie, la guérison,  l'honneur, mais aussi l'ordre : car contrairement à la nature plurielle d'Istia, les trois soleils ne présentent qu'une unique et lumineuse facette(sauf éclipse, lorsque qu'Elion et Istia se rencontrent.) Le Seigneur de l'Aste incarne aussi le feu purificateur, et le renouveau au travers des cendres du passé desquelles renait l'avenir.
On dit qu'il est l'amant d'Istia, et qu'autrefois ensembles ils engendrèrent le monde. Ses prêtres sont principalement des hommes.

- Kanderal, Maitre des bêtes : Kanderal incarne les esprits primitifs des choses et des êtres. De la colère brutale des éléments aux hurlements des prédateurs, en passant par la douceur d'une mère louve pour ses petits,  Kanderal n'est ni bon, ni mauvais : il est l'équilibre de la nature, dans la vie comme dans la mort.
Je veux en savoir plus sur le culte de Kanderal!

- Sskanos, Le Sage : Sskanos est le dieu serpent, il incarne le temps et le destin. Il est celui qui dévorera un jour Elion, puis fécondera Istia pour que le monde puisse renaitre de ses entrailles. Il n'est ni bien, ni mal, car la vérité n'a pas de couleur : elle est.

- Kaassik, le perdu : Kaassik est le jumeau de Sskanos. On dit qu'il se gorgea du sang de la mère alors qu'elle leur donnait naissance ensembles. Tant et si bien qu'alors il ne pu plus jamais se défaire de son gout. Kaassik incarne le mal nécessaire, l'ascension des forts sur les faibles, le mérite, la force puisée dans sa douleur et celle d'autrui. On dit que ses adeptes cherchent sa voix au cœur des choses que nul autre n'oserait toucher, et sont prêts à tout pour mériter son approbation.

- Le Cercle de Givre :
Le Cercle de givre réuni les Seigneurs des cimes. On compte parmi eux  Elgarth (La gardienne du foyer, des femmes, de la fertilité), Eldrin (Géant, dieu de la guerre, entité masculine), Kadis et Olgrath (Lions des neiges, gardiens du palais des glaces où vivraient les seigneurs), Asturias (Fils d'Elgarth et Eldrin, fête, excès, alcools, luxure, art.)

- La Mère : Elle aurait enfanté les dieux, avant qu'Elion et Istia engendrent eux même le monde. On la représente comme une femme très ronde à la poitrine volumineuse, les cuisses ouvertes présentant l'aube de la vie.
Elle incarne la vie, et la fertilité. Ses prêtres sont des accoucheurs, des guérisseurs, et oeuvrent principalement auprès de ceux qui nourrissent les hommes en recueillant et cultivant les dons de la terre.

Le Mystère des Bracelets

D'étranges bracelets se matérialisent aux poignets de ceux qui traversent où naissent dans la barrière. On sait que ceux qui en ressortent le perdent, et ne peuvent plus jamais rentrer.
Des rumeurs disent que le roi Balthazar sait les retirer, et aurait ainsi condamné à l'Exil ceux ayant profondément voulu nuire à Mystal. Mais nul n'a jamais confirmé ces rumeurs.

Pour autant, ceux qui les portent et auraient rencontré une mort brutale se seraient vus réincarnés dans les différents temples des dieux rois d'Akenos. On dit que le traumatisme et la souffrance sont alors  immenses : Mais la mort serait repoussée.

La maladie, ou la vieillesse, continuent pourtant à tuer. Les Prêtres du Sage supposent que les bracelets ne protègent  pas de la mort choisie par le destin : mais uniquement des accidents.

Cela fait néanmoins trop peu d'années que cet étrange objet est porté pour que d'autres théories aient pu être dégagées.

Les peuples d'avant

Aujourd'hui, nous n'avons plus réellement de peuple. Mais nous nous souvenons pourtant de qui nous étions, avant, et d'où nous venons.

- Les Ashirites :
Les Ashirites étaient les grands seigneurs des terres arides. Ils avaient développé des technologies permettant de mieux vivre là où l'eau est si rare et où l'absence d'ombre peut tuer.                    
Ils vénéraient principalement Elion, ainsi que la Mère. L'un pour les préserver de la brûlure des trois Astres, l'autre pour que leurs maigres ressources engendrent tout de même quelques récoltes et nourrissent le bétail.
Ils formaient de très grandes citées de pierre blanche sous les rayons brûlants des trois astres. Leur structure sociale est gérée par des Emyrs, de grands marchands, et quelques tribus nomades. Les femmes y  tenaient des  rôles de sages, de guérisseuses, ou d'artisane quand les hommes tenaient des rôles d'avantages militaires.

- Les Dionys : Les Dionys étaient un peuple des mers chaudes d'Akenos. Leur culture était extrêmement rigoureuse, militaire, et patriarcale. Les femmes y tenaient un rôle de gestionnaire de la maison, secondant les affaires de leur mari, voir de commerçantes. La société se graduait entre le conseil citoyen, les travailleurs et les esclaves. Extrêmement expansionnistes, guerriers nés et grand stratèges, ils possédaient un des plus grands territoires.
Ils vénéraient principalement Elion sous le nom de "Zephyrion", son aspect guerrier et militaire.

- Les Athilan : Les Athilans étaient des guerriers, cavaliers redoutés des grandes steppes des terres gelées. Peuple nomade, capable de se déplacer à plusieurs centaines de cavaliers sur leurs terres gelées et inhospitalières. Leur culture pour autant ne négligeait ni le beau ni le confort : Tapis, tentures, et tentes luxueuses ont sut impressionner bien des invités.
Meilleurs dresseurs de chevaux et cavaliers de toutes les terres, leur culture amène au combat aussi bien hommes que femmes vigoureux. Ils vénèraient principalement les esprits, les forces de la nature sommeillant en chacun. En cela on les retrouve aujourd'hui à prier principalement Kanderal.

- Les Sanaraï : Les Sanaraï avaient une culture extrêmement stricte et rigoureuse. Habitants des îles septentrionales, leurs habitudes de vie se tournaient principalement vers le respect et l'amour de l'océan. Le rôle de chacun dans la famille, le travail, et l'honneur, étaient extrêmement centraux. L'impair pouvait être synonyme de honte, et donc de mort. La capacité d'un Sanaraï au sacrifice personnel pour sa famille, son pays, son clan, ou son maitre, exprimait son sens de la loyauté sans faille. Pour cela, ils se retrouvaient principalement dans les préceptes loyaux d'Elion qu'ils priaient sous le nom du "Prince d'Ambre".
La foi dans la destinée des Sanaraï était aussi extrêmement forte, ils se retrouvaient donc également dans les principes du "Sage" appelé "Le gardien de l'infini".

- Les  Darkariens Ce peuple vivait dans les jungles luxuriantes de sud est. Amateurs de hauts palais aux jardins luxuriants, artistes nés, la beauté des artisanats Darkariens a laissé sa marque dans l'histoire.
Un peuple ouvert aux autres et curieux des cultures de ses voisins, on ne pourrait pas qualifier pour autant les Turaniens de faibles. Ces guerriers au style dansant ont marqué les esprits de leur adversaire par leur grâce et leur précisions.
D'une culture méritocratique, les Darkariens ne différencient que peu l'homme et la femme dans leur ascension sociale. On reconnait autant de reines que de monarques de ce peuple.
Habitants de la jungle, leurs ennemis les craignaient particulièrement pour la connaissance des poisons qu'ils ont tiré des plantes et animaux toxiques les environnants. Leurs prières s'adressent principale à Istia, au sage, ainsi qu'à la mère.

- Les Râassit :
Farouches ennemis des Ashirites, les Râassit leur disputaient depuis des siècles les rives du fleuve maghdhi. Leurs conducteurs de chars et leurs archers étaient particulièrement craints. Leur culture se tournait  principalement vers la vénération des dieux dans leur ensemble, bien que la  phase obscure d'Istia incarnant le passage dans l'au-delà tenait un  rôle tout particulier dans leurs rites funéraires.
Les Prêtres gouvernaient les contrées Râassit, quelque soit le Clergé, excepté celui des cimes gelées. Le Prince souverain Râassit (ou princesse) était choisit par le conseil des clergés.

- Tsingaran : Les Tsingaran habitaient l'est des royaumes dorés, et de leurs proches voisins les Valashan. Leurs guerres de territoires ancestrales ont laissé place à leur union face au fléau, qui ne suffit malheureusement pas.
Les Tsingaran migrèrent alors à l'est, traversant le miroir d'Istia. Ils devinrent alors un peuple nomade, rassemblant chansons, musiques, et danses au travers leurs voyages. On dit des tsingaran qu'ils sont la mémoire des histoires du monde, et nombreux sont ceux qui se réjouissent de leurs passages pour assister à leurs spectacles et entendre leurs balades.
L'accueuil des peuplades qu'ils traversent est malheureusement nuancée par quelques rumeurs les qualifiant de voleurs déguisés, leur valant une réputation de charlatans pas toujours injustifiée.

- Les Senagan : Ce peuple vivait dans le grand désert d'Eatch, mais se retrouva endigué entre les conflits opposant les Ashirites aux Râasit. Refusant de choisir un camp, les Senagan durent migrer dans les chaînes de montagne de la coudée du géant, réduits à peau de chagrin par leurs voisins expansionnistes. On dit que ce peuple déraciné se renferma sur lui même, considérant désormais les étrangers avec beaucoup de méfiance au sein des quelques petits villages éparpillés qu'ils ont sut préserver.
Leurs prières s'adressaient principalement au perdu, dont le pragmatisme a sut selon eux les préserver du pire, et qui saurait un jour les aider à recouvrer leurs territoires perdus.

- Les Valashan Les Valashan habitaient autrefois les royaumes dorés, devenus les terres désolées suite à la victoire du Seigneur des Ombres sur les armées Valashan et Tsingaran.
Migrant au sud sur les terres Dyonasan, les Valashan ont laissé derrière eux une civilisation qui érigeait ses flèches d'or et de marbre entre les frondaisons des forêts tropicales. Recueillis par leurs voisins du sud, ils formèrent avec eux une grande muraille s'opposant aux forces toujours grandissantes des terres désolées.


- Les Faerynn :
Ces hommes des forêts du nord des terres gelées se dispersaient en différents petits clans autonomes voir rivaux. Les ressources étaient rares et les querelles fréquentes : ce bien que l'union fut toujours de mise contre un ennemi commun.
Ils vénéraient les seigneurs de l'hiver dans leurs différentes facettes, et croyaient en la puissance supérieure de ceux et celles qui survivaient à la morsure du froid. Nombre de rites souvent mortels marquaient  les phases de la vie des Faerynn, y compris le passage à l'age adulte. Notamment, l'adolescent(e) se devait de survivre une semaine seul en forêt, pendant un hiver, avec seulement quelques outils.

- Les Vahalan : Ces farouches habitants des montagnes des terres gelées avaient adopté un mode de vie extrêmement brutal. On ignore beaucoup de choses d'eux,  mais on sait qu'ils vouaient une vénération à Kaassik comme au Cercle de Givre. Souvent opposés aux Faerynn par des guerres de territoires, on garde d'eux le souvenir de guerriers particulièrement redoutables.

- Les Aspics:
Pacifiques, lorsqu'on ne venait pas les chercher dans leurs sanctuaires localisés dans les forêts du sud de la Darkarie. Ce peuple extrêmement tribal se tournait principalement vers la vénération des esprits de la terre, de la roche, et des grands gardiens animaux. Ils se retrouvaient au travers des clergés de Kanderal et de la Mère : qu'ils appellent le Père Ours et la Mère Louve.
A demi-nus, il n'est pas rare de les apercevoir couverts de tatouages tribaux, où affublés de quelques manifestations naissant de leur lien très fort à la nature (queue de loup, oreilles..fourrure). Leur connaissance des plantes et de leurs vertus en faisait parmi les meilleurs guérisseurs.

- Les Ssekmet :
On savait peu de choses sur ce peuple. Leurs pratiques étaient énigmatiques, et le don extrêmement puissant chez eux. On parlait d'individus dotés d'iris reptiliennes, leurs peaux sombres souvent irisées d'éclats ambrés comme habitées d'un feu intérieur.
On soupçonne qu'ils aient mêlé leur sang à une race saurienne très ancienne et étrangement respectée par les adeptes de Kanderal. On les croisait en général près des différents volcans des royaumes dorés, leur peau sombre irradiant d'une chaleur naturelle.
Depuis la chute des royaumes dorés, très peu ont croisé les Ssekmet. Ils se seraient, dit-on, réfugiés sur une île volcanique au nord du continent nommée "le souffle de Raeki": mais nul ne s'y est jamais rendu pour en avoir la certitude.
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